J'aime / j'aime pas

J'aime :
Manger des nouilles au boeuf, ou tomate-oeuf pour 0.8 €
Prendre le taxi pour 2€, les jours ou le réveil n'a pas sonné, et qu'on a vraiment pas envie d'aller au boulot.
Me trouver des points communs avec tous les gens que je rencontre (et je fait pas exprès, on dirait qu'ils viennent vers moi)
Voir les grands-pères jouer au jeu de go dans les parc, et aux cartes sur la "remorque" d'un vélo dans la rue jusqu'à pas d'heures.

J'ai du mal :
Avec les changements climatiques, on sait jamais comment s'habiller (c'est déjà pas facile quand on a une garderobe qui doit rentrer dans une seule valise). grâce à la pollution, on peut perdre ou prendre entre 5 et 15°C d'un jour à l'autre, comme sa, sans prévenir.
Avec le livreur qui passe ses journées dans la rue du bureau a brailler comme un bébé qui pleure, en fait il cherche des clients, c'est un cri genre la poissonnière ... très bizare.
Avec les méthodes de travail des chinois. Et dire qu'on ma appris pendant toutes ces année à l'école et au lycée à travailler en groupe pour ma "vie professionnelle". Ici on connait pas ...

Ca me fait rire :
Quand je voit les fesses à l'air des bébé qui courent dans tous les sens.
Voir les chinois qui découvrent que les café Starbuck, c'est bien, mais que quand on en boit le soir, ça empêche de dormir. C'est dur de faire comme les occidentaux ...
Acheter des cannelés au "Comptoir de France" près de chez moi, alors que je n'en ai jamais mangé à Bordeaux ...

J'aimerai bien :
Pouvoir acheter tous ces boukin qui ont l'air si intéressant, si jolis, et qui sentent si bon le papier recyclé. Mais moi savoir pas lire. Alors j'ai acheté des livres pour enfants, genre devoirs de vacances pour la grande section de maternelle, et j'apprends à écrire les caractères chinois. J'ai encore le temps avant d'acheter un roman ...
Avoir le temps de visiter toute la Chine, mais la vie est trop courte. Même un an pour Beijing, c'est juste.
Marcher sur la Grande muraille, et la faire de bou en bout. On va commencer par faire quelques bous, on verrat ensuite si on a le temps de finir.